Les différents stades BBCH de développement du blé
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La protection du potentiel des surfaces en blé est capitale :
"Au Gaec de la Marinière, nous sommes quatre. Je travaille avec mes parents et mon frère qui s’est également installé sur la ferme. Notre assolement maïs/blé/colza est le reflet de nos besoins pour nos ateliers de production animale, bovins et volailles. Je suis, pour ma part, responsable des cultures. A ce titre, la protection du potentiel de nos surfaces en blé est capitale ! J’ai d’ailleurs pu me rendre compte de l’importance du contrôle de la septoriose. Mon père réalisait toujours trois traitements au printemps. Lorsque je suis arrivé sur l’exploitation, j’ai tenté de réduire les passages, en ne réalisant pas de traitement sur la première feuille. S’en est suivi une perte de rendement de 20%. Afin d’écarter un éventuel biais lié au contexte de l’année, j’ai retenté l’année suivante. Pour enregistrer, là encore, une perte importante au niveau de la récolte."
Pas d'impasse sur le premier traitement anti-septoriose
"Aujourd’hui, j’ai bien compris la leçon : plus d’impasse sur le premier traitement anti-septoriose sur mes blés. D’autant que mon père semait fort, alors que depuis que je m’en occupe, j’ai réduit la densité au semis. Le risque de voir mes rendements réduits est donc plus important et la sécurisation du potentiel de mes blés est donc un passage obligé. Désormais, je ne fais plus l’impasse sur un seul traitement durant la période à risque, je protège jusqu’à la dernière feuille. En fin de printemps, à partir du stade deux feuilles, je fais un tour de plaine toutes les semaines pour surveiller l’état sanitaire. Si de mauvaises conditions climatiques sont prévues durant la période à risque, je ne me pose plus de question et j’applique un traitement anti-septoriose."
Avec Sesto, deux avantages en un !
"Cette année, j’ai testé mon fongicide à base de SDHI et de triazoles avec Sesto, qui est multisite. J’ai enregistré de très bons résultats puisqu’à la récolte, mes parcelles qui avaient reçu l’association des deux fongicides a donné 4 quintaux de plus que la parcelle traitée avec le SDHI + triazole seul. Et en plus, je sais qu’en utilisant la nouvelle solution Adama, j’œuvre pour la pérennité des solutions fongicides en contournant l’apparition de résistances. Deux avantages en un, pour cette solution anti-septoriose !"
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